Il existe plusieurs types d’entreprises qui exigent la constitution d’un capital social, il s’agit notamment d’une EURL, d’une SARL, d’une SAS et d’une SA. C’est à vous, en tant que fondateur et dirigeant de la future entreprise, avec vos associés, de constituer ce capital, destiné à rembourser les frais payés lors de la création de votre entreprise mais surtout pour en assurer l’avenir et le développement de vos activités professionnelles.
Le capital social
Pour une EURL, SAS et SARL, l’apport en numéraire minimal est de 1 euro, mais pour une SA, il est de 37 000 euros, payable en 2 fois : la première partie lors de la création de votre sociale et la seconde, durant les 5 ans suivantes. Par contre, zéro euro pour une entreprise individuelle qui, légalement, ne nécessite pas de capital social. Mais il y a aussi, éventuellement, ce qu’on appelle apport initial minimal en nature. Que devez- vous savoir à ce sujet ?
L’apport minimal en nature
Dans le cas où, vous désirez faire un apport en nature au capital social de votre société, il serait peut-être avisé de faire appel à un expert. Cela implique des frais naturellement et un commissaire aux apports est libre de fixer ses honoraires comme il l’entend, mais aussi sur la base de la valeur et du type d’apport en nature de votre entreprise. Aussi, avant de l’engager, demandez un devis. Pour information, pour une SA et une SAS, c’est cet expert qui vous précisera le montant de l’apport en nature. Pour une SARL et une EURL, si chaque apport en nature est inférieur à 7 500 euros et si le montant total est inférieur à 50 % du capital, vous pouvez décidez d’estimer vous-même, avec vos associés, cet apport en nature.